Réédition

Une belle journée d’été… Je me balade au bord d’un étang… Le lieu est magnifique. Désert aussi. Je ne rencontre personne… Mais au détour du chemin, je les vois : trois jeunes filles, 20-22 ans, allongées sur le dos ou sur le ventre sur une grande couverture, à se faire bronzer… Elles sont quasiment nues, ne portant qu’un string… Elles discutent calmement, rient de temps en temps…
bbJe ralentis légèrement mon pas. Je les admire. Corps nus magnifiques. Ces courbes. Ces fesses rebondies. Ces seins arrogants. Ces longues jambes fines. Ces hanches que j’ai envie de saisir. Ces ventres plats…
Mon chemin passe à trois mètres d’elles…
– Bonjour
– Bonjour
Je ne peux m’arrêter malgré mon envie de me serrer contre elles. Je ne veux pas être indiscret. Je suis passé… avec regret. Me retourner ?…
– Monsieur !
Je m’arrête. Me retourne. Mon coeur se met à battre fort…
– Excusez-moi. Vous avez du feu ?
– Oui, bien sûr.
aaJe reviens vers elles, cherchant mon briquet dans la poche de mon pantalon.
Elles se redressent. L’une fouille dans son sac à la recherche de ses cigarettes. Elle en donne à ses deux amies… Ces corps qu’elles me montrent sans aucune pudeur. Ces six seins comme des poires fermes…
Je m’accroupis pour me mettre à leur hauteur… Elles se serrent contre moi… Non. En fait elles se rapprochent de la flamme de mon briquet…
Une première allume sa cigarette à mon briquet que je tiens… Puis une autre. Puis la dernière. Je les admire. Une hanche frôle la mienne. Un sein effleure mon bras nu.
Je les sens. Mélange de crème solaire et de transpiration. Odeurs qui achève de réveiller mes sens… Grande envie de les prendre par leurs hanches fines, de les serrer l’une après l’autre contre moi… De prendre leurs seins à pleines mains… De les embrasser à pleine bouche… Envie de caresser leurs fesses sondes, leurs longues cuisses fuselées… De glisser ma main à l’intérieur de leur fine lingerie…
– Merci ! dit l’une
– Vous nous sauvez ! J’ai perdu mon briquet dit l’autre…
– Humm ! C’est bon ! dit la troisième.
– Vous êtes bien ici ! dis-je bêtement.
– Oui ! Il fait beau et bon…
– Merci Monsieur. Bonne promenade…
Je comprends que je dois les laisser. Je me redresse. Je reprends mon chemin.
– Au revoir !
– Bonne ballade !
Brève rencontre qui continue, des années après, à alimenter bien de mes fantasmes et à accompagner des caresses tristement solitaires…

Peut-être pourriez-vous imaginer une fin plus… coquine !
Racontez-moi comment vous auriez terminer cette rencontre…

aa