Grande surprise -et plaisir- de recevoir ce texte envoyé par une fidèle de mon blog. Ca me plait beaucoup quand une femme me livre ainsi son fantasme… Grand merci à toi..

Tu es face à ton ordinateur. Je devine que tu es en train d’écrire un joli texte pour ton blog. A moins que tu ne sois en train d’écrire un mail … à une femme … à moi peut-être. Je suis entrée sans sonner puisque tu m’as prêté ta clé mais tu ne m’as pas entendu approcher, trop absorbé par tes pensées, tes écrits. Il est très tôt, je suis juste passée chercher le livre dont tu m’as parlé ; tu voulais me le faire découvrir. Tu n’avais dit qu’il n’y aurait personne ce matin chez toi car tu devais partir quelques jours. En plus, je suis pressée, j’ai un rendez-vous dans une heure à peine. Mais je reste là à t’observer, rêveuse. Tu ne portes pas de tee-shirt, ton dos nu … envie de le caresser, de poser mes mains sur ton corps chaud, envie de les glisser sur ton torse, de masser ta nuque et descendre le long de ta colonne vertébrale jusqu’à tes reins, tes fesses …

Je reste discrète et tu ne soupçonnes pas ma présence. Je suis trop loin pour apercevoir le contenu de l’écran mais serais pourtant curieuse de le lire. Ton chat vient miauler pour que tu lui ouvres la porte. Tu le lèves … surprise … tu es nu … entièrement nu … cette apparition m’émoustille. Tu es toujours dos à moi, je ne vois que tes fesses. Deux belles fesses que j’ai envie de prendre à pleines mains comme tu pourrais le faire de mes seins. Tu te rassois, sérieux, voire solennel. aaTa position est désormais plus orientée vers moi. Tu sembles relire les mots que tu as tapés sur ce clavier. Mots ou pensées qui visiblement te plaisent à en voir ton sexe qui gonfle. Irrépressible envie de le voir gonfler entre mes mains, de l’aider à se déployer. Je me demande si tu vas le caresser, si tu vas te caresser … et moi … que ferais-je ? Est ce que je résisterais à cette force qui m’attire vers toi ?

Le soleil est déjà très chaud ce matin. Et cet éperonnant spectacle décuple la chaleur en moi. Je retire ma robe, sous laquelle je ne portais rien. Je me faufile derrière toi et m’installe sur le fauteuil, dans une position lascive, très suggestive. Ne m’as-tu pas entendu ? Ou bien fais tu semblant ? Ton sexe affiche une belle érection. A défaut de sollicitation, l’ordinateur s’est mis en veille, et je comprends que tu m’y vois par un effet miroir. Alors, d’une main je dissimule mes seins et je fais tomber l’autre au niveau de mon entre-jambes. Je la pose sur mon ventre, descends doucement … puis l’enlève … je caresse mon mont de venus … arrête … effleure l’entrée de mon vagin … je sais que tu m’épies et que tu attends impatiemment que je me caresse … que mes mains trouvent mon clitoris … que mes doigts se faufilent entre mes lèvres … mais je ne fais que jouer … jouer à suggérer ces caresses …

Alors pour me provoquer, tu te retournes à demi afin que je voie ton visage … et … les yeux clos … tu joues avec ta langue … léchant tes lèvres ….avec sensualité et savoir faire. Tu as fais en sorte que je ne voie plus ton sexe … alors que je ne pense qu’à lui …

Ton téléphone sonne … Tu te lèves pour … trop tard … je t’ai attrapé en route par la taille et ai plaqué ma bouche contre la tienne, te forçant à m’offrir un baiser langoureux. Sans retenue, ton corps épouse le mien, corps à corps tant attendu … Naturellement, ton sexe s’est introduit dans le mien … Il me remplit … viens … je t’ai tant voulu … Je ne peux presque pas bouger tant je suis assaillie par tes coups de reins que me poussent à chaque fois un peu plus au fond du fauteuil … j’aimerais que ce plaisir ne s’arrête jamais … il continuera à vivre dans mes souvenirs … si … il va s’arrêter mais de la meilleure des façons … en atteignant le sommet …