P1030078 Folies à la Plage

En cette belle journée d’août, un vent vigoureux balaie la plage naturiste. Déesse Elysa, exaspérée par les assauts de la Tramontane, agrippe les bords de son chapeau des deux mains.

 
Les deux hommes qui entourent Madame sont respectivement: Enrique, son mari, qui a su éveiller en elle, La Femme Sensuelle et Conquérante et Hermann, son amant parisien, un bel homme noir musclé et créatif. Ces trois complices, fervents libertins, sont ici, au Cap d’Agde, en quête d’érotisme et d’émotions.
 
Un troisième partenaire les accompagne. Fabrice vit depuis des années, une profonde dévotion pour Madame qui en a fait son serviteur, un serviteur soumis aux nombreuses fantaisies de sa Maîtresse.
 
Madame râle après les indélicatesses du vent, tout en se délectant des mains joueuses de ses amants qui explorent sa peau mate et soyeuse. La Déesse évalue du regard le garçon prosterné à ses pieds, front contre le sable, en attente de ses directives. Ses ongles de pieds sont peints en rouge vif, il porte une culotte rose qui dissimule sa cage de chasteté.
 
«Aimerais- tu retirer ta cage ?

Une décharge d’adrénaline secoue le pénitent, son regard s’enfièvre à l’idée de vivre une érection complète, mais pas plus… Il le sait, il connaît bien les règles: L’éjaculation est le privilégie des amants de Madame.
 
Madame confie son chapeau à son serviteur, elle abandonne au vent déchainé sa blonde chevelure qui flotte comme un drapeau. Elysa retire elle-même la cage de chasteté de son soumis, elle le fait avec une délectation identique à celle qu’elle ressent en ouvrant un paquet cadeau.
 
La Déesse palpe avec langueur les bourses gorgées de jus. Le petit sexe ne tarde pas à devenir raide, et secoué de spasmes. Prise d’un rire spontané, Madame se tourne vers ses hommes :
« Regardez, il bande ! Comme c’est mignon…
Les deux messieurs sourient avec un regard  compatissant pour le  pauvre garçon en émoi. Madame gifle ardemment le petit membre gonflé d’espoir et de prétention, pince le gland douloureusement, puis lui tord les testicules comme un linge mouillé.
« Hum…Allez! Va me trempez cela dans l’eau froide ! Et remet cette cage, sinon, tu vas croire que tu as une vie sexuelle!
 
Électrisé, bouillant de désir, le serviteur halluciné plonge son corps dans l’eau fraîche et salée. Ce contact plein d’une vivifiante fraîcheur le ramène vite à son état embryonnaire.
 
A son retour, Madame, observe le petit sexe redevenu humble et prêt à l’incarcération pour une durée indéterminée.
« On va jouer… Oups ! Figure-toi que j’ai caché ta cage dans le sable,  tu vas devoir la chercher pendant qu’on s’amuse à… Ces « jeux » que tu aimes tant voir… Allez, cherche ! Cherche !
 
Fabrice se met a ratisser le sable méthodiquement.
 
Tout en s’adonnant à sa recherche, le garçon lorgne du côté des Maitres. La Déesse masturbe les virilités en émoi avant de les prendre en bouche à tour de rôle. Les deux gentlemen ne tardent pas à  posséder Madame simultanément par l’anus et le vagin, Sublimes accès voués à la pluralité masculine et aux jouets de toutes les formes.
 
Madame haletante  se tourne vers son serviteur qui fouille le sable comme un damné:
«Tu refroidis là, mon garçon ! »
 
A mesure que Madame lui indique  la voie, Fabrice se rapproche du trio engagé dans un corps à corps total
« Ca se réchauffe ! Allez, gratte, fouille ! Chien… »
 
Madame, ivre de sensations pénétrantes exaspère son clitoris, jusqu’à l’orgasme. Les Messieurs, au paroxysme de leur vénération abandonnent leur semence dans les voies qu’ils explorent passionnément depuis de longues minutes. La tension des amants retombe, bientôt en soupirs d’aise, en sourires, puis en silence… sauf pour Fabrice. Sa main nerveuse passe le long de la serviette de Madame et rencontre enfin la cage en plastique. Il la secoue pour expulser le sable dont elle est envahie. Il la rince sous l’eau de la bouteille plastique. Il sait qu’il va devoir enduire ses parties génitales d’huile de coco pour replacer sa cb6000s à l’endroit qu’elle quitte si rarement.

« Regardez-moi, ce gagnant ! Il l’a trouvée ! Une récompense s’impose !? Dit Madame en regardant les hommes qui opinent à cette suggestion.
 
Les Pieds de la Belle Déesse se tendent alors vers l’appendice du serviteur. Son sexe montre une belle raideur et son gland coule abondamment. Les Nobles Pieds de Madame s’emparent sans délicatesse de sa virilité ignorée. Malgré les sensations rugueuses des plantes de pieds couvertes de fine poussière et de sable, Fabrice est pris dans un intense chaos émotionnel. Le garçon se répand très vite sur les orteils de sa Maîtresse
 
Madame relève ses cuisses vers sa poitrine: « Allez, tu vas d’abord nettoyer de ta langue la crème qui sort de ma chatte et de mon cul, puis après tu lécheras ton jus minable qui pollue mes pieds. Que dit-on? »
 
Le larbin lâche avec ferveur et solennité:
« Merci Madame pour votre générosité, c’est un honneur de vous servir ! »