Réédition

Je me promène seul dans la forêt. Il fait beau. L’allée est large. Pas grand monde. Quelques cyclistes et joggeurs me croisent ou me dépassent… C’est paisible… Les oiseaux chantent…
Une jeune femme me dépasse en trottinant… J’ai le temps de l’admirer : deux longues jambes fines et musclées sortent de son short large et court qui flotte autour de ses cuisses. Une belle paire de fesses. Des épaules fines mises en valeur par les bretelles de son débardeur. J’aurais envie de lui courir après ! Mais après, qu’est-ce que je fais ?
Elle est à une centaine de mètres devant moi quand soudain elle se met à claudiquer, elle saute à cloche pied et se laisse doucement tomber au sol en se tenant la cuisse droite. Elle se roule sur le sol…
J’arrive à sa hauteur.
– Qu’est ce qui vous arrive ?
– Une crampe… Aïe, ça fait terriblement mal…
– Je peux faire quelque chose pour vous aider ?
– Je ne sais pas, moi. Il faudrait me masser…
– Je veux bien… Ca ne vous gêne pas ?
– Non, allez-y !
Elle s’appuie sur ses deux coudes. Je m’agenouille devant elle et lui prend le pied de la jambe qui lui fait mal. Je commence par lui faire allonger puis plier la jambe. Plusieurs fois. Je ne peux m’empêcher de la regarder. Elle a la tête renversée en arrière, les yeux fermés et grimace de douleur. Dommage. Elle est mignonne. Et maintenant, je peux apercevoir ses seins par l’échancrure de son débardeur… Ils sont nus… Et je devine par l’échancrure de son short qu’elle porte un string…
Elle ouvre les yeux. Me fait un petit sourire…
– Ca va mieux ?
– Oui, j’ai moins mal. Mais vous pouvez me masser la cuisse.
– Je n’osais pas…
– Mais si, allez-y.
Je pose donc délicatement mes deux mains ouvertes sur son genou. Je le fais rouler entre mes paumes. Puis les remonte doucement de part et d’autre de sa cuisse. Je n’ose monter plus haut et m’arrête là où elle est la plus grasse… Et je redescends tout aussi doucement puis remonte en appuyant plus fort et en faisant agir mes doigts le long de ses muscles… Puis redescends… Ceci pendant un bon moment… C’est agréable. Elle a la cuisse douce.
– Hummm ! Ca va mieux. Merci.
aaaJe lâche à contre coeur. J’aurais voulu que ça dure une éternité….
– Pour le fun, vous ne voulez pas continuer en montant un peu plus haut ? C’est si agréable de se faire masser par un homme qui semble savoir y faire… Si ça ne vous dérange pas, bien sûr.
– Non, non, pas du tout. Au contraire même… C’est aussi très agréable de masser une jolie femme comme vous…
Elle me décoche un petit sourire coquin que je prends pour une invitation…
Je reprends donc sa cuisse entre mes deux mains à l’endroit où je l’avais laissée et sans hésiter je monte plus haut. Jusqu’à la lisière de son short. Je redescends puis remonte encore plus haut, glissant sous le fin tissus.
Mes deux mains largement ouvertes sont maintenant posées sur son aine, pouce contre pouce. Le dos de ma main qui est à l’intérieur frôle son pubis…
– Hummm ! Oui !… Là !… C’est bon…
J’appuie un peu plus cette main, la fait doucement aller et venir le long de son sexe…
Et puis je fais passer cette main sur l’autre aine. Le pouce pénètre sous l’élastique de son slip et effleure son Mont de Vénus… Douce toison fine… L’autre pouce, venant de l’autre jambe, de faufile également sous le vêtement, rejoint son compère, glisse le long de la fente, trouve le petit bouton d’amour qu’il fait doucement rouler sous lui… Celui qui caressait le petit Mont, glisse à son tour vers le bas, et s’insinue sans difficulté entre les lèvres tant celles-ci sont lubrifiées… Il pénètre la grotte le plus profond qu’il peut…
– Oh que ce massage est bon !… Allez-y ! Ca fait le plus grand bien…
Elle commence à s’agiter. Le mouvement de ses hanches accompagnent le mouvement de mes pouces…
Et soudain, elle se redresse, se lève brusquement et me tire par le bras à l’intérieur de la forêt.
– Ne restons pas là.
Lorsque nous sommes suffisement cachés, nous nous débarrassons complètement de nos vêtements. Et lorsque nous sommes complètement nus, elle m’escalade… Et nous faisons ainsi l’amour, debout, serrés l’un contre l’autre…