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Une collègue… arrangeante

Réédition

Adeline. Une collègue de travail. Elle a quelques années de moins que moi, toute mignonne, pas très grande (elle m’arrive à l’épaule), menue mais avec de belles formes, pleine d’humour et de dynamisme… Célibataire endurcie par choix : “je ne veux pas m’embarrasser d’un homme. Seulement quand j’ai envie !” dit-elle souvent ! Un plaisir de travailler avec elle et j’avoue avoir souvent eu envie de l’avoir dans mon lit et elle a accompagné sans le savoir quelques caresses solitaires… Il m’arrivait de la serrer contre moi en lui avouant, en riant, mon désir d’elle ; elle se laissait faire en riant aussi et cela n’allait jamais plus loin.
En ce temps là, j’habitais en banlieue et travaillais à Paris. Cela ne me dérangeait pas de passer mes deux heures quotidiennes dans le RER. C’était le moment où je pouvais lire le journal. Mais par contre, il m’arrivait assez souvent d’avoir des réunions le soir et je n’aimais pas trop le retour tardif parfois avec le dernier RER, d’autant plus qu’à l’arrivée je n’avais plus de bus et je devais encore marcher une petite demie-heure…
Un jour que j’avais une telle réunion en soirée elle me propose de venir chez elle ensuite. Elle a un logement à 10 minutes à pieds de notre lieu de travail et me dit avoir de la lace et un lit pliant quelle pourrait m’ouvrir dans le salon… C’est donc OK.
Le soir, vers 22h30, j’arrive donc chez elle. Elle m’accueille habillée d’une manière que je lui ai jamais vue : jean moulant et taille basse et haut également moulant et laissant le nombril à l’air… Elle me propose un verre et nous sert un whisky. Je lui raconte la réunion d’où je sors, nous parlons travail…
– Bon ! On va peut-être aller se coucher maintenant. J’ai oublié d’aller chercher le lit à la cave. Il faut qu’on y aille… A moins que…
– A moins que… ?…
– … Tu dormes dans mon lit ! Il est assez grand pour deux !…
– Euh… Mais… Je n’ai pas de pyjama !…
– Ca fait rien. Je te prêterai une chemise de nuit, me dit-elle en riant…
– Et puis… Je ne suis pas sûr de pouvoir dormir dans le même lit qu’une femme sans la toucher…
Alors elle se lève, se plante devant moi, poings sur les hanches :– Ecoute !Je crois avoir compris que tu as très envie de baiser avec moi. Et moi, ce soir, j’ai envie de baiser avec toi ! D’autant plus que ça fait des mois que je n’ai pas baisé… Alors, si tu veux plus, on va chercher le lit pliant à la cave et tant pis pour nous…
Pour toute réponse, je lui pose mes mains derrières ses cuisses, sous les fesses et l’attire tout contre moi et je plonge mon visage sur son ventre nu et le couvre de baisers… Elle se laisse faire et tient ma tête à deux mains…
Puis, je me lève, la serre contre moi. D’une main, en me penchant, je lui malaxe les fesses, de l’autre un sein et mes lèvres vont se coller aux siennes et nous nous embrassons profondément. Elle même a sortie ma chemise de mon pantalon et caresse le dos, le torse… De l’autre main, elle entreprend d’ouvrir mon pantalon et se glisse à l’intérieur…
Très rapidement, nous nous retrouvons tous les deux nus, toujours débout, enlacés, nos mains explorant le corps encore inconnu… Ma main glisse sur son ventre, atteint son pubis. Il est nu.
– tu te rases ?
– je l’ai fait en t’attendant. Je pensais qui tu aimerais !
– j’adore
Je lui embrasse le cou, descend sur son épaule, les seins… Elle me tient toujours la tête, tend son corps à la rencontre de mes lèvres, dirige mes baisers là où elle les veut… Elle me fait encore descendre. Je dois me mettre à genoux, saisis ses fesses à deux mains et couvre son petit minou de baisers..; Elle écarte légèrement les jambes et accentue encore sa pression sur ma tête… Alors je lui happe le clitoris du bout de la langue tandis que mes mains glissent sur ses cuisses, remontent et que deux doigts pénètrent doucement dans son antre chaude et déjà bien lubrifiée de désir… Elle se raidit, pousse un profond soupir…
Puis elle se baisse me faisant lâcher prise, saisit mon sexe tendu à pleine main, se laisse rouler sur le tapis m’entraînant avec elle… Au sol, nous roulons l’un sur l’autre, lèvres soudées, jambes emmêlées, mains pétrissant… Je sens l’humidité de son sexe contre ma cuisse qu’elle serre entre les deux siennes…
Je suis couché sur le dos. Elle me chevauche, assise sur ma poitrine, me serrant le torse entre ses genoux…. Je la caresse sur tout le corps, les seins, les fesses, ses belles cuisses fines… Puis je la fais basculer vers l’avant. Elle est à quatre pattes, les seins pendant au niveau de mon visage : je les lèche, les embrasse, les gobe, les tête, les mordille… Mes mais caressent ses fesses, ses cuisses…Délice de ses courbes, finesse de son corps, douceur de sa peau !… Puis l’une de ces mains passe sous son ventre, glisse jusqu’à son pubis et deux doigts la pénètrent… Mon autre main glisse entre ses fesses écartées, trouve son passage secret où un doigts s’insinue… Elle vibre, se cabre, halète… s’ouvre, va à la rencontre des sensations…
Elle se laisse tomber sur moi et glisser vers l’arrière… Mon sexe raidi pénètre sans difficulté le sien tant celui-ci est humide… Elle se crispe, joint les jambes forçant le passage pour les glisser entre les miennes… Elle ondule des reins, transpire, respire de plus en plus fort…
Puis un cri. Nous jouissons au même instant, moi ayant l’impression délicieuse de me vider entièrement dans le fond de ses entrailles…
Et nous nous relâchons… Restons un moment enlacés, serrés l’un contre l’autre, par terre, sur le tapis au milieu du salon…
– Viens. On va prendre une douche et aller nous coucher…
La douche est bonne, tous deux serrés dans la cabine…. Nous nous caressons, nous massons… Puis nous essuyons mutuellement.
A peine allongés, elle se pose ta tête sur mon ventre, caresse doucement mon sexe qui se repose, le branle doucement… Sous la caresse, la bête se réveille, commence à se gonfler… Elle le prend en bouche, le lèche, le suce, l’aspire, le prend tout en bouche.
Quand elle juge la fermeté à son goût, de nouveau elle me chevauche et s’empale dessus… Puis pose sa tête dans le creux de mon épaule…
– Je veux qu’on dorme ainsi, toi en moi… moi sur toi… Enlace-moi, serre moi fort…

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